Les cantiques de Louons-Le

‘Y a un pays sur l’autre rive, Appelé «terre de joie sans fin» ; Nous l’atteignons par décision de la foi, Un à un nous y entrerons, Pour être avec les immortels ; Quand sonneront les cloches d’or pour toi, pour moi.

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Mon cœur chante aujourd’hui de joie, d’allégresse : Jésus sauve, satisfait, bannit ma tristesse ; Plus de condamnation, j’ai la paix en moi, Jésus est merveilleux, puissant pour délivrer.

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Le soleil ne se couchera point dans cette ville, Le soleil ne se couchera point ; Les fleurs sont épanouies à jamais, Le soleil, ne se couchera jamais.

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Quand j’atteindrai la rivière à la fin du jour, Au dernier coup de vent de chagrins, Quelqu’un m’attendra là pour m’indiquer la route, Je ne passerai le Jourdain seul.

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Toi, ma portion éternelle, Plus qu’un ami ou la vie, Pendant mon pèlerinage, Laisse-moi marcher avec Toi. Près de Toi, près de Toi, Près de Toi, près de Toi ; Pendant mon pèlerinage, Laisse-moi marcher avec Toi.

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Terre de blé et vin j’ai atteint, Ses trésors sont gratuitement miens ; Ici brille un jour merveilleux Car toute ma nuit s’est dissipée.

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Oh ! quelle joie ! le Seigneur m’a sauvé ; Oh ! quelle joie ! le Seigneur m’a sauvé ; N’eût été le Seigneur Jésus, oh ! où serais-je ? Oh ! quelle joie ! le Seigneur m’a sauvé.

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Dieu dût aimer un pécheur tel que moi, Il a changé ma tristesse en joie Il n’eût de repos qu’Il m’ait ramené, Quel est ce merveilleux amour !

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Je te rencontrerai à l’aube sur la splendide rive, Quand toute peine aura été ôtée, Je serai à l’entrée quand les portes s’ouvriront large, A la fin d’une longue et triste vie.

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Tout au long du chemin vers la demeure de l’âme, ‘Y a un Œil qui t’observe ; Ce grand Œil est ouvert sur chaque pas que tu fais, ‘Y a un Œil qui t’observe te surveille.

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Oh ! toi mon frère, connais-tu le Sauveur, Qui est merveilleux, bon, fidèle? Il est «le Rocher de ton salut !» ‘Y a du Miel pour toi sur le Roc.

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Oh ! voyez quel genre d’homme qui Calme la mer en furie, Guérit malades, estropiés, Boiteux, fait voir l’aveugle, Portes de la prison II ouvre Et libère les captifs ; Voyez quel genre d’homme II est, Quel genre d’homme est-ce !

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Aux bords du Jourdain je me tiens, Mes yeux se portent au loin, Vers le beau pays de Canaan, Où se trouvent mes trésors.

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Je dois dire à Jésus tous mes soucis ; Je ne peux porter seul ces fardeaux ; Dans ma détresse, Il m’aidera bien ; Toujours II aime et prend soin des Siens.

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Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur, Ecoute ma voix ; Quand Tu répondras aux autres, Ne m’oublie pas.

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J’étais errant, plus loin de Dieu, Maintenant je reviens ; Le péché, longtemps, j’ai suivi Seigneur, je reviens.

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Je te rencontrerai à l’aube, Tout juste à la Porte de l’Est ; Sois prêt, pèlerin fidèle, De peur qu’il ne soit trop tard.

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Les fenêtres du Ciel sont ouvertes, Les bénédictions tombent ce soir, ‘Y a joie, joie, joie dans mon cœur, Car Jésus-Christ arrange toutes choses ; Je Lui avais remis mes haillons, Il m’a donné une robe toute blanche, Ce jour, je me régale de la manne, C’est pourquoi j’ai la joie ce soir.

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Si riche, si profond Insondable, C’est l’amour Divin L’amour rédempteur

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Je sais que c’est le Sang (2x) Je sais que c’est le Sang pour moi, « Lorsque j’étais perdu, à la croix II mourut, Je sais que c’est le Sang pour moi.»

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