‘Y a un pays sur l’autre rive, Appelé «terre de joie sans fin» ; Nous l’atteignons par décision de la foi, Un à un nous y entrerons, Pour être avec les immortels ; Quand sonneront les cloches d’or pour toi, pour moi.
N’entends-tu pas les cloches sonner ? N’entends-tu pas les anges chanter ? C’est le jubilé «gloire! alléluia!» Dans ce lointain pays de joie, Par de là la rivière brillante ; Quand sonneront les cloches d’or pour toi, pour moi.
Quand notre bateau atteindra L’autre rivage de la mer, Ni péchés, ni peines dans ce port de demain ; Il n’y aura que bénédictions, Douces caresses de notre Père, Quand sonneront les cloches d’or pour toi, pour moi.
N’entends-tu pas les cloches sonner ? N’entends-tu pas les anges chanter ? C’est le jubilé «gloire! alléluia!» Dans ce lointain pays de joie, Par de là la rivière brillante ; Quand sonneront les cloches d’or pour toi, pour moi.
Quand nos jours seront terminés, Quand, morts, nous dormirons en paix, Sur l’ordre du Roi, l’Esprit est libéré ; Plus jamais sujets à l’angoisse, Nous atteindrons ce beau pays, Quand sonneront les cloches d’or pour toi, pour moi.
N’entends-tu pas les cloches sonner ? N’entends-tu pas les anges chanter ? C’est le jubilé «gloire! alléluia!» Dans ce lointain pays de joie, Par de là la rivière brillante ; Quand sonneront les cloches d’or pour toi, pour moi.