Cantique de Louons-Le: LE GRAND JUGEMENT (OB 118)

J’ai rêvé que l’aube du grand jugement Se levait, la trompette sonnait ; J’ai vu des nations être rassemblées En vue du jugement du trône Blanc ; Du trône vint un Ange très brillant qui Se tint sur la terre et la mer, Avec Sa main levée vers le Ciel, Il jura : «il n’y a plus de temps.»

missements, Quand les perdus connurent leur sort Ils crièrent aux rochers et montagnes, Ils prièrent ; hélas ! c’était trop tard.

L’homme riche était là mais son argent Se détruisit et disparut ; Appauvri, il se tint au jugement, Ses dettes furent trop lourdes à payer ; Le grand homme fut là, mais sa grandeur Resta en arrière à sa mort. L’ange qui ouvrit les registres n’y Vit aucune trace de sa grandeur.

missements, Quand les perdus connurent leur sort Ils crièrent aux rochers et montagnes, Ils prièrent ; hélas ! c’était trop tard.

La veuve, les orphelins étaient là, Dieu s’est souvenu de leurs cris; Plus jamais de chagrins là au Ciel, Dieu a essuyé toutes leurs larmes ; Joueur d’argent, ivrogne étaient là, L’homme qui leur vendait la boisson Et ceux qui lui livrèrent la licence, Tous ensemble sombrèrent en enfer

missements, Quand les perdus connurent leur sort Ils crièrent aux rochers et montagnes, Ils prièrent ; hélas ! c’était trop tard.

L’homme de bonnes mœurs vint au jugement mais Ses farces hypocrites furent toutes vaines ; Les hommes qui ont crucifié Jésus Passèrent tout comme ceux de bonnes mœurs ; L’âme qui a reporté le salut : « Le salut ? Pas ce soir, après ; Je manque le temps pour la religion ! ». Mais ils eurent le temps pour mourir.

missements, Quand les perdus connurent leur sort Ils crièrent aux rochers et montagnes, Ils prièrent ; hélas ! c’était trop tard.