Cantique de Louons-Le: QUAND J’ATTEINDRAI LA FIN (OB 85)

En Galilée, le sable a couvert, Sur la rive, les pas de l’Etranger; En Judée on n’entendra plus la Voix Qui calma les vagues en furie. Mais ce jour, joyeux, je suis la voie Du Galiléen solitaire. Et les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route. Et les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route.

Il y a tant de collines à gravir Que je soupire après le repos, Celui qui m’indique le chemin connaît Et les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route. Ce qui est utile et meilleur. Je sais, Sa Parole a promis que Ma force, « elle sera comme mon jour. » Et les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route,

Il m’aime tant qu’Il ne peut me quitter Ni me donner une épreuve trop forte, Son peuple est racheté à grand prix, Satan ne peut le réclamer. Bientôt je vais Le voir, Le louer, Dans la cité du jour sans fin. Et les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route, Et les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route

Quand le dernier faible pas est fait, Les portails de cette ville apparaissent Et qu’alors les merveilleux chants des anges Résonneront à mes oreilles. Ce qui maintenant semble mystérieux, Sera brillant et clair comme jour. Là, les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route, Là, les peines du chemin ne vaudront rien, Quand j’atteindrai la fin de la route.