Au sommet du Mont Sion, ‘ y a une cité, Et la terre est remplie de sa gloire ; Un matin, je contemplerai sa splendeur, Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont.

Oh ! Cette cité sur Mont Sion, Quoique pèlerin, mais je t’aime; Et jamais je ne te quitterai, Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont.

On m’invite à retourner dans cette cité, La Parole invite celui qui veut, Là, je trouverai un palais qui m’attend, Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont.

Oh ! Cette cité sur Mont Sion, Quoique pèlerin, mais je t’aime; Et jamais je ne te quitterai, Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont.

La mort ne m’affligera dans cette cité, Ne me fera point gésir de froid ; Et j’entrerai là pour vivre pour toujours Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont.

Oh ! Cette cité sur Mont Sion, Quoique pèlerin, mais je t’aime; Et jamais je ne te quitterai, Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont.

J’attendrai ici l’appel de mon Sauveur, Faisant chaque jour Sa volonté ; Alors là-haut, Il me dira ; «C’est bien fait », Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont

Oh ! Cette cité sur Mont Sion, Quoique pèlerin, mais je t’aime; Et jamais je ne te quitterai, Quand j’atteindrai cette cité sur le Mont.