Connais-tu cette cité, la cité céleste Dans ses murs tout est clarté plus d’ombre funeste Pèlerins et voyageurs, ici-bas dans les douleurs Toujours ce trésor nous reste La cité céleste
Connais-tu cette cité, la cité bénie ? Où tout est félicité, sublime harmonie L’Agneau seul est son soleil Et son éclat sans pareil Illumine et vivifie la cité bénie.
D’or, de perle et d’azur est cette patrie Connais-tu le fleuve pur, l’Arbre de la vie ? Plus de fardeaux à jamais, Pour les élus tout est paix De Dieu la cité chérie, c’est notre Patrie.
O, Salem, repos si doux, mon cœur te désire ! Après son chef, son époux l’Eglise soupire Etre toujours devant Toi, Mon Seigneur ! Mon divin Roi, Pour Te chanter et Te dire, Mon cœur Te désire.